« Depuis l’intrusion sauvage sous l’étiquette d’exportation de la civilisation « moderne » à l’appui d’idéologie d’évangélisation des populations africaines prétendument- profitant peu ou ne sachant pas tirer profit de l’immensité des diversités des richesses que renferment leur espace territorial, ce continent qu’on dénomma à l’insu du plein gré de ses habitants : l’Afrique ; est depuis lors, et malgré des déclarations d’indépendances souveraines par rémission des péchés au soir du succès éco-sociétaire européen (trente glorieuses 1950-1980), et encore à nos jours, au centre de virulentes convoitises dopées des frustrations sociétaires du modèle d’économie occidentale se moquant du reste par flatterie d’approche des critiques acerbes de la jeunesse africaine (l’aspect belliciste serait-il minimisé de neutralisation ?). »
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Afrique: la roue de secours de l’Europe
Autrement quand ça va bien en Europe on délaisse l’Afrique à elle sans le moindre remords et quand le vent tourne en Europe on entend rappeler aux Africains leur place importante dans la marche de l’Afrique et l’avancée du monde ! La construction d’un monde dont-il est leur fermé les portes au demeurant comme peu l’attester innombrables de morts aux frontières de l’Europe. C’est dans cet esprit de reconquête des cœurs des Africains meurtris par l’abandon d’hier, du moins au plus haut du désintérêt profond à leurs développements sociétaires, que masque très mal l’imposition par l’Occident de sacripants aux têtes de leurs institutions, l’octroie insidieux de prêts financiers (dette) et autres procédures de structuration et restructuration aboutissant à des privatisations au profit d’entreprises européennes ; que s’illustre la nouvelle « sérénade » visant à chantonner et « seriner » à tout va que l’Afrique est le continent de l’avenir. S’imposant de flagornerie à marteler de ce fait, qu’il revenait à ses ressortissants «souverains» d’être les acteurs libre de sa construction…en arguant à tue tête les volontés d’une ère nouvelle par la « simple » dénonciation de la nature dominatrice (Françafrique et autres obscurs épithètes) des relations surréalistes dont-ils étaient questions d’avec les décideurs de ce continent.
Un amour opportuniste de l’Afrique
Qui en douterait de cet amour indélébile porté à l’Afrique pourrait alimenter ses craintes en observant la tempête de contraintes qui pèsent sur l’Afrique dont la récente décision du conseil de sécurité de l’Onu, enjoignant à la communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), structure inférieure dans la hiérarchie institutionnelle de l’Afrique à l’Union Africaine (UA), dans le cadre du conflit au Nord Mali d’avoir à lui présenter un plan d’attaque militaire des armées africaines sérieux sous peu et sous l’indirecte menace indirecte de voir la communauté internationale cette fois-ci encore se porter au secours civilisateur de l’Afrique.
Qu’il est surprenant que les enquêtes internationales dans le cadre de défense des droits divers reconnus aux populations, soient de toujours facilement actées, plus vivantes et rapides quand il s’agit d’Africains (Cf les dépotoirs de la CPI et autres). La rapidité d’arrestation quand ce n’est purement la livraison au lynchage du guide Libyen « Feu Kadhafi » et comparution en justice et condamnation en comparaison d’avec des leaders d’ailleurs de part ce monde en dit long des voies d’affections africaines. Serions nous face à la machination psychodramatique d’idéologie accompagnatrice d’une intervention sous angle d’accaparement pour une meilleure réinsertion civilisatrice en appui de valeurs, comme naguère le christianisme, inconnu des Africains ?
Investissements étrangers qui ne profitent pas au continent Africain
Qu’il est inquiétant de vivre un amour peu avantageux, comme le dévoile la préférence d’inonder les marchés de consommations africains d’obsolescences de produits de modèle économique occidental au refus de transfert de technologie, et très peu instructif comme se livre la Chine qui dans ses programmes de réalisations soutenus gagnant-gagnant d’ouvrages publics (routes, hôpitaux, etc.) en profite pour matérialiser des programmes de réinsertion sociétaire de ses prisonniers par la construction des dits ouvrages au détriment des Africains…comme le fait d’une manière bien plus subtile les entreprises occidentales qui rapatrient toujours en investissements hors Afrique les gains réalisés en Afrique.
C’est amour indélébile de l’Afrique se caractérise, contrairement à l’attente cordiale du partage de l’Afrique de Berlin 1883, à nos jours dans des combats aux conséquences insoupçonnables, comme le dévoile la récente opposition de l’union européenne (U-E), par l’appel de la France, à l’adjudication du marché de rénovation et agrandissement de la route liant les deux plus grandes métropoles du Cameroun (Yaoundé-Douala) à un consortium d’entreprises chinoises arguant le non respect des procédures d’appels d’offres internationaux tout en revendiquant que la réalisation par les entreprises européennes seraient bien moins chère au kilomètre et bien mieux pourvoyeuse d’emploi local.
Attentisme et complaisance de la diaspora Africaine
Pour parfaire cet irréfutable nouvel amour de l’Afrique qui ne cesse de prendre forme sous l’excitation permanente de revendication africaine à plus de liberté. Il va indiscutablement être mis en concours la horde d’Africains (?) établie en Occident, en souffrance d’attentisme à être propulsée sur le devant de la scène administrative des institutions africaines par des bienfaiteurs non africains, qui pullulent de collusion en maléfices dans les artères des conseillers (faire valoir) territoriaux et autres en Occident, à réclamer des réparations et autres pour les méfaits d’antan de la sauvageonne colonisation en guise de légitimation auprès des Africains. À défaut de reconnaissance d’une journée commémorative (plus dangereux du fait de la portée dans le temps) dont-ils lutterons par la suite pour s’attribuer la paternité. L’Afrique par sa probable participation à se manège dont-elle entendrait qu’on lui accorde une fois encore, après l’épisode des indépendances mal conçues et de loin conquise, assistance à quelconque reconnaissance existentielle s’organiserait encore à être et le rester indéfiniment (?) la bien aimée de non Africain.