Quelle mascarade que celle de la CPI tapant sur Gbagbo. C’est l’histoire d’un Nègre puni parce qu’il voulait défier, sans aucune stratégie ni moyens militaires, ses maîtres, en particulier l’ancienne mère patrie, la France.
Ouattara un esclave mental de la France
Quant à Ouattara, il démontre, s’il le fallait encore, que l’esclavage mental est plus fort que celui qui est visible à travers les chaînes. à l’arrivée, c’est l’Afrique qui est humiliée devant la planète. Mon opinion de « petit blanc » était que voir intervenir l’armée française pour mettre en place ce Ouattara qui avait peut être gagné les élections… selon les régions ,mais de façon pas du tout certaine à ce que l’on pouvait lire, en sachant que Ouattara avait travaillé au FMI ,et est marié à une femme d’affaire française…donc voir l’armée Française emmenée par Sarkozy ce ne pouvait pas être pour le bien du peuple ivoirien et il fallait bien y voir la patte (crochue,vorace) de l’impérialisme Néo-colonial de la France… Le CPI est devenu un outil, une arme contre les présidents intègres en Afrique.
L’occident empêche l’unité Africaine
Continent le plus riche de la planète, avec une profusion de ressources naturelles, l’Afrique est aussi le plus pauvre. 57% vivent sous le seuil de pauvreté, c’est-à-dire avec moins d’1,25 $ par jour. La clé de ce mystère ? C’est justement que les multinationales ne paient pas ces matières premières, elles les volent. En Afrique, elles pillent les ressources, imposent des bas salaires, des accords commerciaux défavorables et des privatisations nuisibles, elles exercent toutes sortes de pressions et chantages sur des états faibles, elles les étranglent par une dette injuste (FMI), elles installent des dictateurs complaisants, elles provoquent des guerres civiles dans les régions convoitées. L’Afrique est stratégique pour les multinationales, car leurs prospérités sont basées sur le pillage de ces ressources. Si un prix correct était payé pour l’or, le cuivre, le platine, le coltan, le phosphate, les diamants et les produits agricoles, les multinationales seraient beaucoup moins riches mais les populations locales pourraient échapper à la pauvreté.