« Un documentaire vidéo de l’artiste Sidiki Bakaba qui nous retrace explicitement l’historique de la République de Côte d’Ivoire de ses débuts aux crises meurtrières que vous avez certains entendus parler qui ont faits des milliers de morts lors du coup d’état de la France et les rebelles de Ouattara… »
Côte d’Ivoire la victoire aux mains nues
Informations Vidéo
- Titre: Côte d’Ivoire : La victoire aux mains nues
- Genre: documentaire
- Auteur: Sidiki Bakaba
- Production: Editions Kaluila
- Durée: 1:17:08
A propos de Sidiki Bakaba
En 1972, C’est quoi même, un spectacle fait de débris de mémoire, sans intrigue ni suspense, bouleverse les bases ronronnantes de la mise en scène ivoirienne. Le metteur en scène en est Sidiki Bakaba. Depuis, les prix et les distinctions honorifiques jalonnent une carrière qu’il partage entre le théâtre et le cinéma, entre l’Afrique et l’Europe. Au cinéma, il reste inoubliable dans Bako, l’autre rive de Jacques Champreux (1979) et en 1987 dans Le Médecin de Gafiré de Moustapha Diop. Sans oublier ses rôles dans Visages de femmes (1972) de Désiré Ecaré, Mamy Wata (1990) de Moustapha Diop, Le Camp de Thiaroye (1987) d’Ousmane Sembène. Au théâtre, il jouera sous la direction de metteurs en scène comme Claude Régy (Lulu, 1975), Patrice Chéreau (Combat de nègres et de chiens, 1982) ou Jack Garfein (Maître Harold, 1985).
Aujourd’hui, il se consacre de plus en plus à la mise en scène et à la réalisation. Il signe Les Guérisseurs en 1988, puis en 1994 un téléfilm : Tanowè des lagunes. Depuis 1995, il a réalisé pour TV5 plus de 27 courts métrages. Il a aussi monté et enregistré pour la télévision de nombreuses pièces en Côte d’Ivoire dont notamment Zoo Story d’Edouard Albee (1992), Maître Harold d’Athol Fugard (1992) et dernièrement L’Empereur Jones d’Eugène O’Neill (1996) dont il assumait également le rôle principal.
- Source de la biographie: Africultures