Brèves Gabon: ce petit pays d’Afrique riche en pétrole, essences rares et minerais s’apprête à organiser les élections législatives, en sachant que le président dictateur Ali Bongo fidèle vassal de la Françafrique n’a aucun rivaux politiques…
Sommaire News
Ali Bongo: une ordure de la Françafrique
Pendant plus de quarante années le Gabon à été dirigé par une main de fer par le défunt Omar Bongo, à la mort de celui-ci la France à donc décider d’installer ce pion à la présidence en 2009 en truquant purement et simplement les résultats des élections présidentielles en faveur du despote Ali Bongo… L’histoire se répète et encore une fois c’est le peuple Gabonais qui vas en pâtir et devoir se taire tels des fidèles asservis, il est de coutume que la France va dire que ces élections se sauront passées de manière démocratique et bien entendu ces résultats seront relayés par la majorité des médias mensonges pour le compte des intérêts de la Françafrique…
Le Gabon la Suisse de l’Afrique
- PIB : 7.228 millions dollars US (2004)
- Parité de pouvoir d’achat : 9.227 millions dollars US (2004)
- PIB par habitant : 6.717 dollars US (2004)
Mais ou donc passe tout cet argent à votre avis, dans les poches ou infrastructures du peuple Gabonais ou dans celles du clan Bongo et ceux qui tirent les ficelles de la Françafrique?
Gabon: sociétés françaises qui pillent les richesses du pays
- Total: liens entre les dirigeants de la société pétrolière, la famille Bongo, la mafia et les sommets de l’appareil d’État français;
- Groupe Bolloré: gestion du terminal portuaire de la capitale économique, partenaire de la Banque gabonaise et française internationale, issue de la banque d’Elf…
- Société Eramet: la famille Duval, qui compte parmi les principaux actionnaires, vient de voir sa fortune fondre de près de 70 % par rapport au sommet qu’elle avait atteint en 2008, et malgré cela elle est classée au 23e rang des fortunes françaises, avec plus de 1,8 milliard d’euros.
- Areva: production d’uranium à un moindre coût…
- Rougier-Gabon, Leroy-Gabon: filiale d’Isoroy), Compagnie équatoriale du bois-Thanry. Cette dernière, accusée d’avoir massacré la forêt, dispose pourtant d’un permis de trente ans pour exploiter 615 000 hectares – l’équivalent d’un département français – et a reçu une subvention de l’Agence française de développement pour établir un plan d’aménagement censé éviter de continuer à détruire la nature.
Débats et commentaires
Question: à votre avis quel parti politique gagnera la prochaine élection législative au Gabon?!