« Actualités Afrique, le 22/10/2013 : L’une des problématiques « d’importance » qui s’enracine de nasse, défaut malmenant l’essor de l’Afrique, résiderait dans la qualité avérée de Non Compétence chez bons nombres d’Africains et marquée de corrosive absence à l’ouverte à l’initiative dans des domaines pourtant de formation et très souvent quotidiennement pratiqués. »
Autrement la compétence revendiquée ou tirée d’expérience ne vaudrait nullement capacité compétente ! Se prévaloir compétent sans en être en dépit de reconnaissance (diplôme, pratique, etc.). Ce qui s’entrevoit qu’en dépit de foultitudes de diplômés dans les travers des sciences étrangères… majorité d’africain(e) ou assimilé(e) n’en serait pas de compétence en mesure de d’innover en poursuite des connaissances ou en souffrance de maturité.
La sincérité de la quête du mieux être pour l’Africain et de meilleure représentation de l’Afrique de part ce monde, se devrait d’intention d’action politique et de pratique sociétale, emprunter les voies de l’inscription des populations africaines dans la poursuite de la révélation du génie (redorer) ancestral ayant grandement concouru aux évolutions technologiques, culturelles, sociétaires, mécaniques, de ce monde. C’est de cette charge que devrait être conditionné le soutien populaire à quelconque représentant ou dirigeant en africain.
En somme, l’Afrique n’évoluera à jamais, n’empruntera guère le chemin de la fière liberté et de la digne souveraineté, si elle s’enferme à se spécialiser à emprunter chez autrui pour ses marques de développement et encore moins si elle s’abîme à recourir substantiellement aux autres pour ses quelconques réalisations internes. Il importe que les instruits africains soient invités à faire valoir compétence, et partant là, d’en apprendre d’innovation d’erreurs et autres échecs… tel en serait assurément la traduction non d’une réussite sociétaire mais inévitablement d’une maîtrise des tenants de son existence et du salut !