« La particulière faiblesse des économies africaines à répondre aux besoins des populations locales se concrétise dans l’entretien de la mendicité financière, qui fatalement s’accompagne à l’ouverture ou permissivité à l’activisme étranger des secteurs d’activités de quelconque niveau d’investissement. »
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Activités prédatrices étrangères en Afrique
Ce qui se dévoile sous l’invocation du concours des coopérations étrangères (non africaines) dans la réalisation des voies d’améliorations environnementales par des constructions sociétaires et autres inscriptions de l’Africain à la maîtrise des savoirs étrangers, se manifeste concrètement sur le terrain par une active prédatrice invasion étrangère s’infiltrant jusqu’aux activités de très très très faibles revenus (secteur informel à l’instar de la revente ambulante au détail) qui d’ensemble subviennent tant bien que mal aux besoins primaires de grandes proportions des populations africaines.
Étranglement de l’activisme local
L’infiltration étrangère à ces niveaux d’activités, grandement pourvoyeur d’emploi si ce n’est principal, ne saurait autrement être perçu qu’en une incurie poursuivant inéluctablement à l’étranglement de l’activisme local. Et ne pouvant pas dès lors permettre aux populations locales de constituer aisément des moyens économiques afin de prétendre par la suite s’inscrire efficacement aux ambitions de constructions sociétaires, et bénéfiques apprentissages ouvrant à l’assimilation des savoirs étrangers et de saine concurrence à l’amélioration environnementale (à moins d’expression de « re » colonisation).
Les coopérations à double sens
Sans qu’il soit remis de fond en cause les objectifs des coopérations, le procédé du déroulement ou la manifestation de bonne intention et de cohérence aux buts poursuivis dans les améliorations diverses, cela ne devrait pas s’ouvrir d’aboutissement au renforcement des faiblesses africaines. De sorte qu’il soit compréhensible, sans que cela soit anti on ne sait quoi, qu’il puisse être mis l’accent sur l’incitation des populations locales à plus et mieux s’investir dans l’évolution des activités informelles à la légalité.
Informelle la politique en Afrique
Pour ce faire, il est envisagé que sur le modèle de ce qui pratique par le biais de la patente ou l’acquittement forfaitaire d’une taxe annuelle, de certaines activités à investissements et revenus moyens : que soit instituée une identification gratuite autorisant à l’exercice légale d’activités aux faibles coûts d’investissements et de revenus.
Au delà de l’intérêt de la quantification réelle du poids de l’informel dans l’activité économique générale, cela aurait pour autre bienfait l’instigation d’un processus d’accompagnement et partant là de susciter et encourager le talent de l’initiative à s’imbriquer d’implication à l’amélioration des constructions sociétaires.