« Du feuilleton des déclarations-révélations entourant la tumultueuse relation de partenariat entre le dirigeant africain de Libye, Feu Grand Frère Mouammar Kadhafi, et l’ex-président français Nicolas Sarkozy, se dévoile en parcimonie des errances du type d’en attendre d’autres à réaliser ses rêves… ce dont il presse d’importance gravissime que les Africains s’en extirpent et éloignent. »
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Saga Géopolitique
Le dernier épisode en verve du feuilleton des déclarations révélatrices sur de probables malversations au financement illégal de l’accession à la magistrature suprême en France en 2007 de Nicolas Sarkozy, accession (environnement) sur laquelle la justice française enquête d’ouverture d’une instruction pendant de volet financier aux ramifications de financement illicite en provenance de Libye par ailleurs, se révèle être d’un attrayant riches d’enseignements pour le spectateur Africain et ouvrant de plus bel à la nécessité à se sortir des rêves fumants et endiguer l’état d’esprit qui voudrait à croire que son meilleur ou mieux-être puisse l’être par la bienveillance d’autres. La saillie rutilante de choc déclaratif révélation du dernier épisode, fut portée par un membre du clan familial du Feu Grand Frère Mouammar Kadhafi et ayant participé plus ou moins directement à l’administration de la Libye sous l’ère du défunt Kadhafi.
Le dit membre affirma que le défunt Kadhafi entretenait son entourage de l’importance stratégique et politique bénéficiaire en ricochet de l’élection de Sarkozy à la présidence en France ,et, être au courant de faits de financement (illicite) de la campagne électorale présidentielle de 2007 de l’ex président français Sarkozy : parle truchement de remise à plusieurs reprises à des coursiers de mallettes bourrées d’argents en liquide au cours de la période 2004-2005. Cela en poursuite de paroles données s’inscrivant dans une entente (deal !) dont le Feu Grand Frère Kadhafi escomptait en retour un vaillant soutien (de l’étranger !) à la concrétisation du rêve d’unifier les États africains dans un ensemble politico-juridique unique sous l’inspiration étrangère et dénommée de copie d’étranger (flatterie ?) États-Unis d’Afrique.
Quelles triturations disséquer ?
Celles-ci découlent tout bonnement du détricote du tumultueux des relations d’alors entre les deux ex leaders d’États sus mentionnés, desquelles s’entrevoient des trahisons en cascade.
Du saccadée des mécontentements à empoignades triturant leurs relations avec pour aboutissement l’assassinat commandé du Grand Frère Kadhafi en 2011 et la mise à sac du territoire libyen à la teneur de perdition irréversible, sous la furie bénédiction de l’ex président Sarkozy fulminant d’alors toutes verves baveuses et mesquines de succès.
En disséquant l’échelonnement des tensions, s’exhibe la roublardise qui envenima les relations tout en exposant une indécence à fleur de naïveté dont-il importe une fois de plus que les Africains s’extirpent. En effet, à l’élection de Nicolas Sarkozy en mai 2007 en qualité de président de la république française, se révéla probablement une contrepartie de l’obscur pacte dont l’entourage de Feu Kadhafi n’en présente qu’un aspect environnemental. Et qui consistait vraisemblablement à la mise en place de l’Union pour la Méditerranée (UPM : fondée en juillet 2008 dans le cadre de la présidence française de l’Union Européenne : U-E) que le président Sarkozy portait à bout de bras et invoquait à tout va.
Intronisateur pour la défense de l’Afrique
Le Grand Frère Kadhafi accepta dans un premier temps son adhésion et la charge d’incitation à convaincre des autres États africains concernés (Algérie, Egypte, Libye, Maroc, Mauritanie, Tunisie) à s’introniser en obstacle…car de fond politique inavouable, l’UPM visait à mettre en place virtuellement une barrière de protection contre la migration des populations africaines appauvries vers l’Europe en s’appuyant en fortification avancée sur les États africains riverains de la mer méditerranée frontière d’avec l’Europe. Kadhafi y retira par la suite la Libye en 2010. Causant par la même occasion une entrave (entaille irréversible) sérieuse à la concrétisation du projet UPM cher au président Sarkozy, sous le fallacieux de l’invitation à celui-ci de l’État Israël.
Après néanmoins avoir auparavant tout de même accepté que la Libye serve de camp de concentration des rapatriés Africains d’Europe avant tout réacheminement sur leur terre d’origine… Ce qui fut mal perçu et peu apprécié (l’accord d’acheminement des rapatriés Africains d’Europe en Libye) en Afrique subsaharienne pour le moins. Toutefois, trois ans après l’arrivée au pouvoir en France et en Europe (présidence tournante de l’E-U) du président Sarkozy, rien n’était entrepris au niveau européen allant dans le sens de l’instigation des États-Unis d’Afrique. Alors que l’Union Européenne, dont la France avait d’alors la présidence tournante, était le premier et principal financier (500 millions l’an soit 77% du budget) de l’organisation majeure africaine qu’est encore à nos jours l’Union Africaine. Et dont la Libye sous l’inspiration du Grand Frère Kadhafi en était l’instigatrice (1999) et le principal financier africain (13%).
En somme, Le Grand Frère Kadhafi s’osa à s’offrir (d’un reversement de pratique quasi coutumière) un obligé redevable non africain, et en aurait été naïvement floué de rêverie et berné par bien malin à attitude d’escroquerie par le ministre candidat Sarkozy. Autrement, Le Grand Frère Kadhafi n’eût pas suffisamment perçu le défaut d’intérêt qu’aurait l’Europe à voir tripoter en force de cohésion à l’union ce qu’elle détricota à succès d’embellissements multiples au travers du partage de l’Afrique et des colonisations.
Agression de la Libye en 2011
Manifestement le fastueux cadeau de la réception d’État en grande pompe, en France, fortement controversée d’alors, d’une durée de cinq jours en décembre 2007 et 8 mois après la prise de pouvoir du président Sarkozy, s’envisagerait alors comme une pommade qui passa mal. Au vu du revers de non annonce de contrats mirifiques d’achats par la Libye de matériels militaires français : dont le fameux avion multi-usages « Rafale » souffrant actuellement encore de difficulté d’exportation, et qui fut fièrement exhibé de participation à l’agression et destruction internationale de la Libye en 2011 se concluant par l’assassinat du Grand Frère Kadhafi.
L’on peut aisément déduire sous le contrôle de la déclaration-révélation du membre clan familial Kadhafi : que le Feu Grand Frère Kadhafi aurait vraisemblablement conditionné à toute chose nouvelle, concrète manifestation du concours d’assistance qu’il escompta à matérialiser l’existence des États-Unis d’Afrique.
Il en est certain que les empoignades conflictuelles entrevues dans cette relation entre les leaders sus évoqués, sont de toujours courant à belles dents en Afrique. Avec cet étonnement que les malheurs subis par ceux tombés sur le champ de l’honneur au nom et pour le compte de l’Afrique tels Les Grands Frères Sankara, Lumumba, Kadhafi, et nombres d’anonymes, conduisent de perversité à encore plus soutenir l’infecte croyance d’avenir meilleur par l’entremise et entreprise étrangère à domination de l’Africain.
« Quand les peuples tournent le dos à la bravoure de leurs morts c’est qu’ils n’ont plus d’âmes ! »