« Il se soutiendrait que les révolutions politiques (ruptures) ont généralement fini par un retour en arrière…! «
La crainte ou peur du retour en arrière devrait-elle suffire à justifier l’indolence au laisser aller de libre cours des choses ???? Ramener cette conception à l’Afrique et la pratique continuelle d’assassinats des évolutionnistes à défaut et dénie de symbolique lutte, les Boganda, Lumumba, Sankara, Kadhafi, nombreux anonymes, etc, salis de connotations de terreurs à subversives des legs coloniaux : le laisser-aller en libre cours des dominations étrangères est-il enviable et productif en quelconques avantages ? La peur est-elle bonne conseillère de qualité de sagesse ?