« L’Africain en est et serait encore à toujours réduit à rechercher être accepté, aimé, apprécié, écouté, respecté, tout simplement à exister dans l’autorisation et encadrements d’autres et spécifiquement non Africain. »
Balivernes réchauffés
Ci-dessous reproduit un « stupéfiant » morceau choisi, non sorti à détourné de son contexte, d’une interview accordée récemment à média non africain (BBC) de l’encore actuel président, Blaise Compaoré, du Burkina Faso :
« Vous ne voyez pas le Burkina se mêler de comment on organise la vie politique, en France ou aux Etats-Unis. CE QUE NOUS SOUHAITONS, C’EST D’AVOIR cette liberté d’organiser notre vie politique, de construire, par nos valeurs et nos choix, la démocratie et la vie républicaine », a affirmé M. Compaoré. »
Le désolant, de balivernes réchauffés poursuivant plutôt subtilement l’inénarrable mise à disposition (soumission) de vues étrangères à l’Afrique, en est de s’interpeller sur ce qui fût à est fait voire entrepris de positif à quelconque niveaux institutionnels et infrastructurels en interne en Afrique pour matérialiser ce souhait et cette volonté de liberté !
Actualités Afrique GriGriNews Sur Twitter
#Afrique-indépendance : Blaise Compaoré se voudrait porte étendard ! http://t.co/7PMeRusCx9 #Burkina #CompaoréDégage
— Actualités Afrique (@GriGriNews) 29 Octobre 2014