Afrique
« Comment ne pas croire que le Drame Actuel à Accent Fatal dans le Futur de l’Afrique, soit et ne réside pas en ce qui est pourtant entrevue comme sa plus belle forte force : SA JEUNESSE ! »
Contraintes étrangères
Tout esprit malmené, bien portant, n’aurait d’expression en bon sens que de volonté de lutte contre le mal cinglant. Lutte que porte en dynamique depuis l’aube des temps la jeunesse avec plus grand d’ardeur d’indépendance et autres revendications des libertés quand la contrainte se révèle étrangère.
Là où quasi totalité de la jeunesse africaine malmenée, de déficit en tous genres marqué de simplicité d’esprit réduit au primaire des connaissances, d’absence volontaire aux pratiques des défis et concurrentiels de construction sociétaire, de défaut de fortification des instructions plus biaisées que valorisables, de limites intrinsèque favorisées d’obstacles culturels décuplées d’acquisition des dominations étrangères (colonisation), etc…, là où majorité de la jeunesse constituée de force africaine -pompeusement flattée d’avenir des sociétés actuelles mais certainement de meilleur en asservissement, se complaît de suffisance des limites prostrées sur leur parcours de vie à contempler à vénérer l’assistance domination étrangère.
Induire un meilleur pour l’Afrique
Frivole d’expatriation, disons de mieux appropriée d’émigration économique (abandon à l’espoir du meilleur ailleurs quelque qu’en soit les conditions), cette jeunesse ne s’ouvre pas pour autant à la volonté à contribuer à faire cesser ce qui favorisa et envenime les conditions de l’émigration de nombres parmi elle. Bien au contraire, nombres se morfondent à enrichir fièrement de plus bel leurs déficits en tous genres et dont-ils se prédisposent à propager d’héritage aux descendances : celles et ceux-là qui n’ont de cesse à réclamer que l’on se porte, se présente, de préférence à leur égard avec des notions appropriées de simplicité préférable à leur entendement et meilleure compréhension. Et d’un comble ou de beauté de malheur peaufiné, celles et ceux-là majoritaire, se pressentent de qualité à induire un meilleur en Afrique.
Failles béantes de l’Afrique
L’Afrique en est ainsi en souffrance d’une jeunesse dont-elle saurait en être fière, se flatter d’impacts profitables à son embellissement, s’enorgueillir d’espérance de propagation de vertus au sein de ses jeunesses successives. L’Asie (Chine porte étendard) elle entend et entreprend déjà tirer énorme profit de cette béante faille de la jeunesse africaine dont-elle s’appuie sur nombres de paumés et veils attardés (au sein des aînés) pour la ventilée de mérite.
L’Afrique n’aurait de salut que la mise en faillite de la faille d’abandon et de glorification des déficits multiples prospérant au sein de sa jeunesse. Et pour ce faire, à charge d’inversement de force attractive et de contrainte, entreprendre une réforme des références de la jeunesse (c’est aspect est ici volontairement succinct afin d’incitation à invitation à stimuler les esprits).
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