« 17/03/2015 : Un poignant constat de la génération actuelle des politiques et apprentis (en herbe) politiques en Afrique, constat amenuisant qui provoque un sentiment profond de déception au rejet du dégoût… »
Les manques d’idéaux
Il en ressort que bons nombres des représentants (quasi majorité, hommes/femmes) gravitant de responsabilité dans la gestion quotidienne et la construction de l’avenir des territoires d’Afrique et d’autres s’y voyant d’espérance y jouer un rôle d’envergure, ne sont que peu mais alors très peu habités d’idéaux glanés de leur expérience de vie trop souvent riches de mésaventures pourtant instructives…et excités à très peu autres efforts qu’à devenir des potentats et autres satrapes (d’une ironie de récompense étrangère).
Frustrations africaines
À ce constat s’additionne l’ampleur dominant des frustrations portées par nombres d’eux (hommes et femmes) et inoculés aux apprentis, positionnées affectueusement d’esquive « absurde de contrariété » à conforter les limites d’ouvertures aux initiatives et dynamiques au rayonnement commun. L’autre constat en est que la constitution instructive (diplôme trop souvent mal acquis) ne saurait être atout déterminant tant que le récipiendaire ne saurait être habité d’idéaux forger d’émulation.
Esprits mal forgés
C’est du positionnement au laissé libre court des esprits de peu d’envergures et mal forgés, dans la sphère publique directionnelle et autres juridiques et législatives, que s’organisent la poursuite à perpétuelle dépendance aux forces étrangères des territoires d’Afrique. Sans des Hommes habités de valorisation de l’Africain (homme/femme), la prise en charge de l’avenir africain ne saurait être autre que fumisterie.