« Après avoir réalisé la trahison d’abandon des forces armées en soutien des institutions, laissant les populations s’adonner à la destruction et aux pillages des aménagements et ouvrages publics, alors qu’au début de traîtrise, Blaise Compaoré, aurait tenté un coup de force en s’appuyant sur une partie de l’armée qui ne se prononça pas sur sa destitution… »
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Appel de la Françafrique
il aura fallu une nuit de calme d’une journée agitée diplomatiquement avec les rencontres de différentes forces de l’ambassadeur français local, et de tractations que l’on dira internationales sanctionnées de l’appel du président français, François Hollande, invitant le président Burkinabé encore en exercice à prendre les bonnes décisions : Pour que soit officialisé le départ en abandon du pouvoir en ce jour par Blaise Compaoré. Qui donc obtint le départ du président du Burkina Faso de ses fonctions ? La France ou le peuple Burkinabé ?
Souveraineté sous-traitée
La souveraineté en Afrique est-elle existante, sous-traitée ou sous-tutelle ? Se pose tout aussi envers qui les forces en armes en Afrique expriment leur loyauté ? Les institutions ou les formateurs outre Afrique ?
Est-il étonnant ou diablerie que les médias occidentaux et spécifiquement français s’adonnent généreusement de couverture de tour d’édition des événements au Burkina Faso ? Quelle crise institutionnelle africaine mérita un tel traitement ? N’est pas au travers du cas Burkinabé réinvestit de reprise sournoise les brides marges de libertés consenties aux africains et chantonnés d’indépendances données par les anciens colons en souffrance de réinvestir de nouveau d’enrichissement propre l’Afrique ?
Quand l’Afrique courbe l’échine
Le Burkina Faso n’étant pas connu pour ses richesses tels les deux Congo (Brazzaville, Kinshasa) où les présidents actuels souffrent de la tentation de se maintenir au pouvoir en dépit d’interdictions constitutionnelles : N’est-ce pas de ce contexte de menace de déchéance brutale, sur fond de transfèrement tel Laurent Gbagbo (Côte d’Ivoire) devant la cours pénale internationale, inviter les dirigeants africains en souffrances de continuité d’exercice du pouvoir institutionnel suprême à mieux courber l’échine aux desideratas instigués outre Afrique ?
Souveraineté africaine existante ?
Blaise Compaoré n’est certes pas fort aimé auprès des populations africaines et nombres de progressistes de tout horizon, s’intéressant aux questions politiques, du fait de sa propre trahison fatale à l’endroit de son éternel ami dont-il cautionna l’assassinat, l’illustre icône Thomas Sankara ! Toutefois, l’ivresse de joie de son départ -de la sorte présentée sous diktat outre Afrique- se devrait d’être mesurée et relativisée d’excitation…. les marionnettes ne se trouvant voire retrouvant pas outre Afrique !
Ps: La Chine prendra certainement enseignement en ce qui concerne l’Afrique avec comme bel sauve conduit quelle ne se mêle pas des questions d’ordres de politiques interne aux États africains.