Comment comprendre autrement le ballet des leaders président africains et émissaires internationaux se déplaçant « dit-on au chevet » du Burkina Faso (malade du fait de ses populations ?), à la suite de la chute ou renversement populaire (…) du fuyard prétendument patriote Blaise Compaoré, si ce n’est spécifiquement s’assurer de continuité au changement -clamer et réclamer- à faire valoir l’attribut leur collant (triturant) en esprit de veille en dévotion : à rendre impossible l’impossible !?
Conservatisme Françafricain
En quoi des personnes qui en interne chez eux n’écoutent guère à n’en n’ont cure de leurs propres populations peuvent-ils être d’un secours positif ailleurs ? Que peuvent-ils porter de meilleur que le conservatisme dont-ils prospèrent (en maléfique perdurant) ?
Les Africains étant de béant absent à toute emprise de maîtrise à leur propre évolution ! Et de pire, d’actuel, dans le concours humain aux évolutions sociétaires, sociales, etc !
Défaut de modèle Africain
L’illustre défunt modèle Africain, anciennement jeune fringant avant-gardiste président du Burkina Faso, Thomas Sankara, clamant et réclamant la nécessité de sortie progressive des dépendances et autres obstacles à l’expression africaine, ne le fut-il pas assassiné (prime) du fait qu’il encouragea les populations à se mouvoir autrement d’eux-mêmes, de propres faits, dignement de salut, au point d’en effrayer de contagion au delà des frontières du Burkina Faso et outre Afrique !? Du moins rendre possible ce que l’on voudrait et s’inoculerait d’impossible de faits Africains.
Le non-essor Africain
Quel (s) intention(s) autre(s) que perpétrer l’impossibilité de l’impossible changement de la représentation populaire définie ailleurs et rejetée des jeunesses africaines à l’instar de celle du Burkina Faso accablées, s’activent, alors que non sollicités, ces voyageurs de conseils méprisant à insulte les aspirations populaires !? Rendre impossible l’impossible… tel se dévoile être la sangle arrimée sur l’essor africain.