Madame Samba Panza se plaint de ne pouvoir être en mesure, sans en référer d’autorisation et acceptation des européens, à décidé d’équiper les forces armées, de défense et de sécurité centrafricaines qui ont vu l’ensemble de leurs matériels saisis par les diverses forces internationales déployées sur le territoire centrafricain.
En somme elle prendrait conscience qu’elle est par son intronisation à la tête de l’État, en qualité de femme à poigne (d’un humour ravageur), actrice de la mise en tutelle de la Centrafrique qu’elle prétend tant aimer !
Va t-elle alors tirer les évidentes conclusions s’imposant de dignité face à de telles constatations et d’honneur démissionner pour n’être salement marquée d’histoire, elle et sa descendance, de complicité au malheur de la Centrafrique ? À quoi d’autres que malheur se maintenir dans des fonctions auxquelles seule son effigie est saluée !?
Le désolant, affligeant, serait qu’en poursuite elle en vienne à vouloir s’auréoler de succès d’avoir obtenu des occidentaux qu’ils veuillent bien faire droit à ses complaintes…