« Est-il un moyen de désintéresser les intentions conquérantes à l’envahissement en nuisibilité à dénier à médire l’africain (e) dans la construction de l’Afrique ? »
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Actions d’envahissement en Afrique
S’imposerait-il d’observations des intentions conquérantes aux actions envahissantes projetées et renouvelées à l’endroit de l’Afrique : que ce vaste espace territorial richement doté et généreusement choyé par la nature n’exprimera à jamais au travers de ses enfants une emprise sur son développement et maîtrise de son essor, tant qu’il s’orchestrera d’organisation à s’attendre tirer profit des dons naturels exploités par d’autres et au loin de son propre compte ?
Quoi qu’il advienne, qu’un territoire d’Afrique soit richement ou pauvrement choyé par la nature, d’hier à aujourd’hui ou de la colonisation aux prétendument indépendances ; Il se dévoile d’observations des intentions et actions à l’endroit de l’Afrique : Qu’il semble être purement interdit avec l’acceptation assassine et complice de majorité d’Africains (e) (lâches), que les Africain-e-s en aient maîtrise à la conduite de leur évolution en tous domaines (culturelle, sociétaire, humaine, psychologique, intellectuelle, etc.) ; Et s’y affèrent à formuler à cet effet des aspirations contraires et distantes de celles définies à préétablies par les conquérants et aspirants aux actions/intentions d’envahisseurs.
Petit rappel historique
Patrice Emery Lumumba à la tête du gouvernement d’indépendance d’un grand ensemble territorial (Congo) richement choyé par la nature et fortement doté humainement ; En ce qu’il s’osa d’alors, à vouloir s’investir à contrôler le développement économique en appui d’exploitations substantiellement bénéficiaires à la construction du territoire et concourant à l’épanouissement de la nation à sa charge, puis, en poursuite, à la maîtrise politique (souveraine) des vues à l’essor de la nation qui est sienne : remercié fut-il de la prime mortuaire par assassinat !
Thomas Noël Isidore Sankara laissé de négligence porter à la tête de l’État -le prétendument père de l’indépendance depuis longtemps chassé- d’un territoire peu considéré en ce que chichement choyé de richesses naturelles enfouies dans le sol et sous-sol, sous entendu pauvre et dont sans grands intérêts pour l’action rapace des conquérants et envahisseurs ; En ce qu’il s’osa à prôner le possible de la construction africaine, et meilleur essor via l’entremise et entreprise africaine qui de pratique concrète d’actions louables et multiformes illumina les populations africaines au loin de son territoire renommé par son fait en négation de l’héritage colonial « Burkina Faso » : remercié fut-il de la prime mortuaire par assassinat !
Légions sont celles et ceux d’Afrique, des Gamal Abdel Nasser aux innombrables anonymes en passant par le récent défunt assassiné Mouammar Kadhafi, s’ambitionnant en la droite ligne des faits d’illustres ci-dessus évoqués, s’osant à entrevoir une construction et réalisation africaine débarrassée de la peu divine sérénade des colonisations qui se revendiquaient civilisatrices- mais obstruant (écueil) main étrangère sur l’essor des sociétés africaines : qui subirent, subissent et subiront peut-être la même prime mortuaire si rien n’est fait en opposition.
Impulser des dynamiques propres
En somme, d’une froide et profonde analyse, peu importe qu’un territoire africain soit richement choyé ou « dit » pauvre (standard de vue occidentalisée), que l’Africain (e) soit peu ou prou brillamment instruit : L’interdit est fait aux Africains (e) à s’oser à réaliser par eux-mêmes, au point d’entrevoir impulser des dynamiques propres, à risquer de formuler des aptitudes en maîtrises de leurs développements à l’emprise sur leur essor.
À défaut de novation à prospérer mettre en forme de nouvelles voies de résolution à sortir d’étreintes et sangles -de conquérants à envahisseurs- pesant d’Épée Damoclès sur la construction africaine, tout comme à neutraliser la complicité entretenant de généralité d’ensemble la faiblesse d’esprit grandissant chez les Africains (e) : Le Moyen d’efficacité à la portée des Africain-e-s serait-il autrement qu’appauvrir l’Afrique des quêtes à désintéresser les conquérants à envahisseurs ?