26/07/2015 : Les personnes issues des milieux modestes voire pauvres, de part l’éducation trop souvent limitée à étriquée tirée pour l’essentiel au fait que l’on peut recevoir à cet égard que ce dont sont dotés les ascendants, du déficit d’éducation volontairement entretenu par le modèle organisationnel sociétal qui fait la part belle à la dépendance étrangère, sont constituées en masse à n’être que d’éternel ravies serf à participer plus ou moins à la consommation et qui plus est de ce qui n’est fruit de leur environnement !
Incrustée est-il dans leur perception de la vie l’impossibilité à elles de s’impliquer d’innovation. Ce qui au demeurant ne sera soutenue par les structures dépendantes des vues étrangères des institutions locales, à la construction de leur société. Bien au contraire, d’un pervers service à la dépendance étrangère, le rêve de meilleur à l’étranger constituant des masses de migrants détournent ces populations jeunes et actives du profond de désespoir à l’effet de fomenter une ravageuse incontrôlable colère à détruire les mécaniques institutionnelles locales installées et au service des vues étrangères.
D’un trait d’observation : Il ne sera réellement, dans le contexte mondial d’approvisionnement en Afrique de biens dont les Africains ne peuvent exploiter (la nature ayant horreur du vide), mis en place des mesures visant à lutter efficacement contre l’émigration africaine. Car celle-ci, émigration africaine, sert fortement par l’espérance d’ailleurs les causes de l’étranger dominant par le maintient en place des mécaniques par lui installé en Afrique.
Les personnes issues des milieux dit de classes moyennes à riches, pour certaines (minorité) à l’éducation étoffée quand celle-ci l’est sincère, qu’elles soient établies en Afrique ou pas, de l’élan négatif ambiant africain, elles ne participent qu’à la consommation à outrance et sauvageonne des réalisations étrangères à l’Afrique.
Tout sursaut d’activisme chez ces personnes se déploient essentiellement qu’en accompagnement d’activité étrangère, et plus hargneusement qu’à tirer profit des structures prédisposées et autres allocations de l’étranger à Afrique. Ainsi l’éducation en Afrique, actuelle, ne s’évertue point à doper la jeunesse à s’intéresser à développer leur environnement. Soit elle ne rêve que de s’y extirper ! Soit elle n’y entend que contrepartie de positionnement social !
En somme, la jeunesse africaine, pour peu qu’on puisse lui reconnaître d’africain autres chose que la couleur de peau, est éduquée à caractériser la défaite de la représentation africaine de par ce monde, à la suite des faiblesses psychologiques des ascendants qui livrèrent l’Afrique aux étrangers.