« Gabon : Le 17 décembre 2011, les gabonais vont voter pour designer leurs représentants dans l’Assemblée Nationale gabonaise. Après analyse des listes électorales, on observe déjà un faible taux de la gente féminine (elles sont au nombre de 14 seulement à être candidates titulaires contre 106 hommes). »
Ali Bongo un président illégitime
Pour beaucoup l’élection qui sera « observée » par la Communauté économique des États d’Afrique centrale, GERDES GABON, Jeunesse sans frontière entre autres servira a prouver qu’Ali Bongo » n’est pas le président des Gabonais« . Malgré la très juteuse invitation d’Ali Bongo et son parti le Parti Démocratique Gabonais, le peuple gabonais est déterminé à ne point prendre part à une autre mascarade politique et empêcher la tenue des élections truquées en avance par le PDG, celui-ci use de ses dernières acrobaties afin de diviser unité des gabonais du Centre, Sud, Nord, Est, Ouest et même de la diaspora en activant les vieux démons du débat ethnique.
L’opposition appelle au boycott des élections
L’opposition quant a elle s’est activée a appeler au boycott des élections législatives. Beaucoup ont déjà promis de s’abstenir de voter et le risque élevé de fraude électorale par le parti au pouvoir le PDG augmente le risque de manifestations post-électorales dans les centres urbains. Il y a un risque modéré que ceux-ci deviennent violents du à des affrontements avec les forces de sécurité, en particulier dans les quartiers favorables à l’opposition: Libreville, Rio ou encore Nkemba. Le 17 décembre 2011 une journée décisive dans tous les cas, bien plus pour Ali Bongo et le PDG que pour les autres partis.