« 23/02/2015 : La croissance démographique soutenue d’une population regroupée sur un espace délimité, du profond de l’histoire de l’humanité à nos jours, soulève, de toujours sur fond de crise interne, une problématique de la répartition des terres dans l’espace occupé. Et encourage la solution de conquête de terres nouvelles par l’accaparement de celles hors de son espace originel délimité (extension territorial). »
L’intérêt chinois de l’Afrique ?
Ce qui se traduit par le recours à la guerre contre ses voisins. Guerre dont le profond n’est autrement l’appropriation terrienne qu’en réalité la menace de suprématie que porte en soutien l’augmentation démographique (forces vives). Ce qui explique la course à la possession impressionnante (qualité et quantité) de l’armement militaire, sous revendication de dissuasion contre des intentions d’agressions et la réassurance de protection de son territoire. La croissance démographique chinoise tourne autour de 0.6%, quand celle des territoires en Afrique caracole aux alentours de 3%. Avec de tel taux africain, les territoires d’Afrique verront leurs populations doubler (de projection du contexte actuel sauf phénomène exceptionnel…) entre 30 à 50 ans.
La chine qui elle aujourd’hui aurait environ 1 milliard 400 millions d’habitants (quasiment 1,2 habitant sur 6 de la terre mondiale), dans 30 à 50 ans verra sa population représentée par moins de 2 habitants sur 6 sur terre. À ce rythme, elle constituerait dans un siècle une représentation de 3 habitants sur 6 de la terre. Situation qui ne saurait autrement que lui conférer une suprématie menaçante. Et entretenir la menace, peu inévitable, de la guerre contre son hégémonie populaire naturelle, avec en sourdine la crise de conquête de terres nourricières.
La Chine conquérante
Hors depuis l’aube des temps, même fort de supériorité numérique qui ne garantie pour autant certitude de succès guerrier, les guerres ne se sont gagnées sans coalition (y compris par la défection traîtrise de frange interne dans la population de l’adversaire). Une alliance de la chine avec l’Afrique à la croissance démographique soutenue, porterait la représentation de cette alliance dans la population mondiale de 4 habitants sur 6 sur terre. Atout non négligeable pour la Chine conquérante sans en être pour l’Afrique servile !
Les Africains ont de passé déjà été des « troufions » chairs à canons dans les guerres de conquête occidentale. Sans que cela ait été de grand avantage soutenue en fierté revendiquée aux générations suivantes, qui expriment encore majoritairement à nos jours souffrance psychologique et désolation de la reconnaissance à l’endroit des sacrifices.
Le conflit futur chinois de conquête terrienne, qui n’est de fond distinct de ceux précédents des grandes guerres occidentales (broyeurs des dynamiques africaines), ne saurait se révéler ou s’inscrire au bénéfice de l’Afrique et de l’Africain cajolés sournoisement par l’actuelle action chinoise d’investissements en Afrique. Action qui de fond au demeurant, d’identique aux souffrances actuelles africaines marquées de déficits (retardements multiples) ancrés des colonisations, réduit l’Africain à la contemplation. Comme naguère au temps des colonisations occidentales, les constructions sociétaires et réalisations (avantages pratiques d’expériences ouvrant à l’aptitude à l’amélioration et capacités concurrentielles) d’infrastructures des sociétés africaines, se font dans le souci de nuire à détruire l’initiative d’importance africaine valorisante.
Duperie chinoise en Afrique
En somme les investissements chinois en Afrique s’inscrivent dans une duperie qui n’a pour effet que de tromper la vigilance africaine en tirant profit de la douleur et souffrances des échecs scarifiés par les colonisations, et but, que de se constituer de nouveaux truffions bernés par de fausses gentillesses.
Combattre l’intervention chinoise en Afrique, en concurrence de protection de secteur tertiaire, en protection économique par la taxation à hauteur des investissements aux bénéfices du soutien de l’initiative locale, etc., concours de salut à une vision de lendemain meilleur. En mettant à mal les fumistes intentions visant à enfermer l’Africain et l’Afrique dans l’éternel servitude et dépendance. Oui à la coopération avec l’Afrique ouverte dans l’esprit de n’être pas un frein à l’initiative, la concurrence locale et son développement. Voulez-vous en tant qu’africain vous voir et savoir votre descendance servir et honorer les forces chinoises après le sacrifice infructueux des parents dans les guerres de l’Occident !?