« De tout temps, à l’amorce ou quand il y a une guerre, les véritables gagnants sont ceux qui financent et/ou équipes les belligérants, et en soutien de bénéfice, se portent et/ou dans une certaine mesure se déportent au secours d’un belligérant voire les belligérants. »
Sommaire News
L’Afrique cible des grandes puissances
D’une vision transversale, l’Europe et les Usa rivalisent de fins stratagèmes pour en être militairement de toujours plus présent en Afrique (lieu d’opération de la future guerre mondiale ?, nécessaire à la relance de l’évolution sociétaire ou remise à plat des idéologies). Finiront-ils, au grand dam des populations dites africaines et de l’environnement local véritables victimes des guerres, par s’y affronter avec la saillante complicité de la Chine ?
La Chine qui les y incitent indirectement par l’emploi intempestifs d’investissements à cible concurrentiels, et au loin du salut des populations locales : point de transfert de connaissances ou technologies, au profit d’exacerbation de la haine des populations locales à l’endroit des futurs belligérants ! Tout en prenant soin de n’être militairement présent en Afrique (n’a t-elle -Chine- d’ailleurs jamais été victorieuse d’une guerre pour en prendre part en assurance ; ce qui transparaît de ses absences aux grands conflits du siècle précédent et autres par ailleurs). La haine engendrant ou nourrissant la haine, l’Afrique a t-elle d’autres moyens que l’exclusion des malintentionnés d’y faire face à sa destruction escomptée par les diableries asiatiques (Chine en porte étendard) ?
La Chine grande gagnante en Afrique ?
D’évidence et d’analyses, il ressort que la Chine en cas de conflit serait assurément la seule véritable gagnante. D’une part, par le biais bénéfique en rétributions multiples et variées du financement des belligérants dont-elle est actuellement grand créancier ; et d’autre part, en appui des dépossessions terriennes « exponentielle » à son actif en Afrique…, facteurs d’ensemble qui lui assureront d’être un recours de toute part !
L’espoir ne fait pas vivre
L’optimisme scandé et recherché en entretien d’espoir d’un lendemain miraculeusement meilleur en Afrique (quand ce n’est par le fait de sempiternelle prière, cela l’est d’incantations de bienfaits de l’assistant soutenu gagnant-gagnant ou humanitaire), n’aurait-il pas ceci de malheureux qu’il endort les Africains dans une passivité en tout genre ?