« Actualités Afrique, Mali, 5/11/2013 : Existent-ils des souverainetés en Afrique… les mots ayant un sens, il serait bon de les utiliser à bon escient et de s’y conformer de respect ! »
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Circonstances suspectes de leurs morts
Les circonstances entourant la récente mort par balles de deux journalistes français dans la région de Kidal, au Nord du Mali actuel, reconnue par les autorités publiques et officielles françaises, souffrent de grande incohérence dans le traitement des faits et de béante différence des pratiques élémentaires dans le cadre de meurtre : tant il est incohérent qu’il soit affirmé qu’il y-aurait eu assassinat par balles et qu’une fois les victimes retrouvées qu’il ne soit fait preuves irrévocables sur la nature de l’objet ayant causé la mort, dans le cas d’espèce le calibre des balles ayant porté la mort pour en connaître de leur provenance… et présentées les douilles ayant servi à cet effet contenant l’objet de la mort, qui devraient de principe être dans le proche environnement des cadavres ou du lieu de l’exécution sommaire ; Que dans l’écart en procédure et non respect règles en de telle circonstance meurtrière, gouvernés par l’absolu nécessité de la pratique de l’autopsie !
Mauvaise lecture des faits
Alors que les circonstances entourant la révélation des autorités officielles françaises exposent de frilosité aux maux de tête, la réponse ou l’esquisse qui en découle de réaction, coutume étant, se dévoile une fois de plus en une humiliation des Africains. La lecture des faits s’ouvrant non pas à l’irréfutable des circonstances entourant le dit assassinat, mais à une intrusion renouvelée de l’autorité française en territoire malien.
Ainsi, la France annonce déployer des agents de police et un renfort de militaires dans un pays (Mali) qui au demeurant est dit souverain et dispose en interne tout aussi des services de défenses et de sécurités appropriés à leur espace et de tels faits d’enquêtes à la suite d’un meurtre. Quand il s’est agit de mener des enquêtes et négociations à la libération d’otages français, à l’exemple des quatre récent libérés enlevés à Arlit au Niger voisin, la France eut une totale confiance aux acteurs locaux et un respect de la souveraineté malienne et africaine qu’elle dénie autrement de confiance et de capacité dans le cadre d’enquête meurtrière sur le sol malien et africain !
Nuisances aux souverainetés Africaines
Le désolant se trouvant être que ces inamicales intrusions répétées en affaiblissement des souverainetés africaines, ne rencontrera point le même vent concerté de dissonance et d’incitation à la dissidence de la part des leaders Africains comme cela fut le cas à l’endroit de l’action de la Cours pénale internationale. D’un véritable comble, bien au contraire, bons nombres se flatteront d’être appelés à jouer les seconds rôles, d’après coup, au travers des voies de médiation. L’Afrique et l’Africain n’en finiront pas d’être au service des causes d’autres…