« À l’intelligentsia africaine, sur qui pèse l’instigation du nécessaire processus dans la charge de rénovation et de révélation d’une nouvelle représentation africaine de part ce monde ; il importe d’absolu de dépasser la génération de réflexion, d’expérience en coopération, que colportent les aîné(e)s des indépendances et leurs successeurs. »
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Dépasser la génération de réflexion
Actions actuellement des destinées étatiques africaines, réalisées dans le cadre des coopérations aux développements… pour y substituer un pragmatisme de bon aloi au niveau de la conception et de la mise en œuvre d’actions et politiques se déchargeant substantiellement de l’argent facile venu d’Occident et de trop souvent sous conditionnalité biaisée d’exploitation de richesse naturelle au rendement incertain d’avenir.
Faiblesse de l’initiative locale
L’heure ne devrait plus être à l’ébauche de théories farfelues ni aux investissements à fond perdu et peu soucieux d’étoffer d’expérience et de vaillance l’initiative locale. Ainsi il se doit d’être porter en accompagnement du nécessaire de la novation en révélation, et de continuité en réappropriation de l’essor des territoires d’Afrique, un progressif coup d’arrêt à la déportation en Afrique des réalisations, réflexions, expérimentations, obstruant en et de faiblesse l’initiative locale.
Abîmes de la coopération et développement en Afrique
Le prémonitoire de la décadence de l’Occident exprimant de ricochet la perdition congénitale de l’Asie, impose de protection des conséquences d’aggravation des pauvretés en Afrique, en raison du séisme qui découlera de la forte interdépendance des économies mondiales, que l’Afrique se prémunisse non pas en s’extirpant brutalement de la mondialisation mais plutôt en dopant en interne continentale ses échanges tout en redéfinissant ses besoins de développements distincts des patents échecs occidentaux.
Il importe à cet effet de dépasser l’abîme et l’empêtrement de la génération (prédécesseurs) de réflexion, d’expérience et d’actions réalisées sous le cadre de la coopération aux développements sous l’égérie non africaine.
