« Actualités panafricanisme, 25/10/2013 : Est-ce par ce que les parents des Africains de nos jours ont massivement été, de force, déportés et massacrés dans les conflits des occidentaux dont la France, qu’en retour, la France s’autorise de force à s’introniser en gendarme en Afrique ; et y intervenir à quelconque mésentente en interne africaine ? »
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Manque de souveraineté africaine
Ou est-ce que les parents d’occidentaux ont défini les territoires et souverainetés africaines que leurs héritiers se déploient à interdire aux Africains d’y porter atteinte ; voire à s’inscrire à la redéfinition de leur environnement et souveraineté, en y portant sans cessent le feu des armes et des contraintes diverses…?
L’africain n’aurait donc de droit et droit à s’exprimer qu’à la mesure de l’acceptation des occidentaux ! Ce serait donc cela le sens de l’émergence africaine, tant prônée d’ambition sous la houlette occidentale : une existence encadrée des volontés développées, définies, sécurisées, par l’Occident en reconnaissance des sacrifices des parents des africains ! Ou quoi donc d’imperceptible à l’immaturité ?
La Françafrique à but humanitaire…
D’enseignement d’histoire, la France eu recours à l’assistance fraternelle et humanitaire internationale pour se sortir des conflits la dépassant, et dont elle pris part, tout en refusant par la suite que lui soit dictée le cadre de son évolution, et encore moins d’humiliation sécurisée par d’autres. Ce qui, d’appréciation, lui vaut d’être cité parmi les grands de part ce monde et contribua à ce qu’elle se dote d’une société enviable à certains égards… Comment comprendre qu’elle (France) impose farouchement aux Africains ce qu’elle rejeta pour elle ? En quoi ses populations sont-elles plus en aptitude de maîtriser jalousement le déroulement de leur destinée que celles africaines ?
Mépris du droit des peuples
Les forces françaises, au nom de l’indiscutable supériorité à toute chose et universel droit des peuples et nation à disposer librement de leur devenir, doivent être conduite à défaut de réalité de simple invitation à quitter le Mali, la Centrafrique, le Cameroun, la Côte d’Ivoire, le Sénégal, etc….bien d’important conflits en interne africaine, à l’exemple de ceux du Liberia, de la Sierra-Leone, de l’Angola, du Mozambique, etc., trouvèrent résolution sans l’intervention française (fussent leur atout ?). La pérenne stabilité dans ces territoires d’Afrique précités, arrachée au prix du sang de leur citoyens, dénote de désolant à l’instabilité chronique des territoires d’Afrique parcourus des interventions françaises. Si tant est selon des dires tonitruants et constat de faits humiliants de politiques en France : la France on l’aime ou on la quitte, il est souhaitable de parallélisme des formes que la France entende qu’elle est tant aimée et tout aussi invitée à libérer les Africains !