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Actualités Afrique » Rédacteur: Joseph TAPA (page 12)

Rédacteur presse : Joseph TAPA

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Amoureux de la vie, du continent africain et m'y passionne: Dans la recherche et ébauches de sortie des crises et sensibilisation au devenir de ce continent. Affectionne la réflexion sur les contours de la vie humaine. Esquisse sur le devenir du continent africain.

Afrique: La France voudra t-elle aller au bout de sa logique guerrière ? Par Joseph Tapa

« À l’avènement en 2007 de son hardi ex président, Nicolas Sarkozy, ce dernier enflamma les esprits concernés par l’essor de l’Afrique de divers continents ; en assénant qu’il entendait inscrire en relation d’avec l’Afrique, son mandat sur la refondation et rupture avec l’accent de cessation de paternalisme des relations. » Dixit Sarkozy février 2008 « Aujourd’hui, l’ancien modèle de relation entre la France et l’Afrique n’est plus compris par les nouvelles générations d’Africains, comme d’ailleurs par l’opinion publique française », « Il faut changer le modèle des relations entre le France et l’Afrique si on veut regarder l’avenir ensemble », «il n’est plus concevable par exemple que l’armée française soit entraînée dans des conflits internes », proposant « refonder les relations franco-africaines sur le principe de la transparence qui est meilleur antidote aux fantasmes et aux incompréhensions ». Ce que son secrétaire d’Etat à la coopération d’alors (probable victime du fait de son remplacement précipité avant l’abandon de titulaire à ce poste), Jean Marie Bockel, exprimera par sa volonté de signer l’arrêt de mort des relations d’un autre âge sous la dénomination de Françafrique. Symbolique guerrière de François Hollande Depuis mai 2012, à la faveur de l’avènement de l’actuel président, François ... Lire la suite »

L’autre facette africaine de l’intervention au Mali par Joseph Tapa

« De pratique ancestrale dont-on se refaire de toujours en quête de vielle méthode à succès, il ressort que l’on ne porte pas la guerre chez autrui si l’on n’y convoite rien d’importance pour son propre mieux être. Il en est de même -des acolytes qui de supposés soutien ne volent à l’entraide guerrière qu’en perception d’un juteux d’intérêts, fusent-ils divergents. » Formule colonialiste mainte fois usitée Ces épopées agressives et d’occupations ne sauraient l’être sans de préalable invocation de mobile émoustillant de bonne cause ou plus subtilement de rudoyant d’idéologie accompagnatrice telle que la diabolisation tapageur de l’adversaire incriminé d’être auteur des maux les plus méprisables. Et cela dans l’objectif qui n’est autre attente à nos jours, distinct de l’époque où le partage du butin de guerre suffisait de convoitise à attiser l’adhésion des masses, qu’à émouvoir de torture d’esprit jusqu’à adhésion de répit d’un grand nombre (manipulation des masses populaires) de la nécessité de porter la guerre. L’Afrique en est riche de cette pratique manichéenne, de toujours pas sanctionnée de réparation, qui pour tendre à justifier le renversement par l’agression française (Opération Caban 20/09/1979) d’un tel tyran, Bokassa en République Centrafricaine, ce dernier fut savamment accusé de massacrer son peuple ... Lire la suite »

Souveraineté Africaine – Algérie: La leçon algérienne aux autres Africains!

« Une bonne partie de la communauté internationale s’attriste de ce que le gouvernement en Algérie fier de son indépendance, de loin acquise par don d’ancien colonisateur mais de haute lutte, ai entrepris par la voie de la réponse armée de marquer de vitalité sa souveraineté en usant la violence des armes face à la prise d’otage intervenue dans un site d’exploitation gazier, à In Amenas, sur son territoire. » Intervention terroriste préparée en amont… Beaucoup voudront y voir une simple connexité en conséquence à cette prise d’otage, qui au demeurant semblerait avoir été bien préparée au regard de la sécurité multiples (armée algérienne et force privée) autour du site d’exploitation gazier et en appui des dites revendications des auteurs de la prise d’otage d’employés locaux et expatriés divers (africains, asiatiques, occidentaux), d’avec l’intervention française au Mali. D’autres y verront peut être l’affirmation d’une mise en garde algérienne, renouvelée par l’intransigeance qui sera sienne, à destination des instigateurs des insurrections d’intérêts étrangers, teintée d’une belle leçon à vivre dignement l’indépendance à l’endroit des Africains. L’Algérie prend les « devants » de manière souveraine L’Algérie qui mit prêt de 10 ans, par l’usage de la force des armes et d’âpres négociations, à faire taire ou ... Lire la suite »

Yayi Boni pour graves manquements doit démissionner de l’Union Africaine

« À la tête pour une année, depuis le 29 janvier 2012, de l’organe suprême de l’Union Africaine (UA) qu’est la conférence des présidents (art 6 de la charte de l’U-A), et président en exercice de la république du Bénin, Yayi Boni, d’une incartade le 11 janvier 2013 se déclara être aux anges de l’intervention française au Mali. Intervention qu’il salua en totale trahison d’une part, des statuts, de l’institution majeure africaine (U-A) qui s’impose doublement à lui es qualité de président actuel de l’U-A et de représentant d’un Etat membre, en les méconnaissant, et d’autre part, les populations africaines en soutenant d’un tintamarre abject, et réducteur de collectif, d’incapacité de l’ordre de l’impossible des Africains à s’adonner efficacement à la sécurité de leur territoire. » Petite parenthèse Il importe avant tous autres développements d’informer voire de rappeler qu’il existe en Afrique, des armées notoirement reconnues pour leur bonne structuration et compétences tant d’expérience qu’efficacité sur terrain d’opération géographique tel que le Mali désertique. De ces forces armées l’on site la bravoure et courage de celle tchadienne, qui de passé s’est illustrée victorieusement dans des conditions similaires et voire pire face à toute une armée libyenne et non de simple forces hétéroclites ... Lire la suite »

Qui donc en Afrique interviendra d’efficacité au Nord Mali ?

« Il est de principe que la mission première si ce n’est l’essentielle de tous corps constitués en armée, est de primordiale à se porter au prix de la vie de ses éléments constitutifs à la défense du territoire sous leur protection. Cette assertion présuppose pour ce faire l’existence d’une formation nécessaire et adéquate à la topographie locale. » L’Afrique sur se schéma dispose t-elle d’armées ? Pour mieux s’informer sur la qualité et talent des dits militaires africains, il importe de s’attarder sur la genèse des composantes d’armées en Afrique et des missions par elles poursuivies. Sur la genèse occidentale des armées africaines: Il ressort que c’est de la colonisation qu’est issue le schéma représentatif des armées africaines actuelles. Celles-ci furent toutes sous le commandement à tous échelons significatif, d’officiers et sous officiers expatriés « colons » avec une soldatesque locale. Ainsi les modèles d’expressions des armées africaines (corpus) ont été imposées et héritées aux indépendances de la volonté coloniale. Hors celle-ci (la volonté coloniale) n’était aucunement guerrière. Vu que l’Afrique hérita ses frontières d’une entente occidentale (Berlin 1884). Et qu’il en découla que les territoires ainsi façonnés, ne pouvaient être remis en cause par des administrations frontalières très souvent répondant ... Lire la suite »

En respect de l’Afrique la Monusco ne devrait muter en force guerrière

« La mission de l’Organisation des Nations unies pour la stabilité en République démocratique du Congo (Monusco), qui depuis le 1 juillet 2010 s’est substituée à la Mission de l’Organisation des Nations unies en République Démocratique du Congo (Monuc) en place depuis 1999, est depuis peu l’objet d’une machination internationale dont la France se veut porte étendard. » La connivence malsaine de la France en RDC En appui des cries d’orfraies provenant des populations locales, quant à la non participation guerrière des forces de la mission au conflit interne à l’Est de la République Démocratique du Congo. La France d’une connivence certainement malsaine (vu que la Monusco s’est vu notifier ses missions avec son assentiment, et ce, sans réserve au sein du conseil de sécurité de l’Onu où elle siège en qualité de membre avec droit de veto à toute décision), s’active d’un manichéisme pervers sur la scène de la société civile internationale en y dépêchant en alarmiste ridicule : un ancien président, Jacques Chirac, à la maladie ouvrant à la sénilité et une journaliste, Valérie de Trierweiler dont le seul émérite face à cette situation à l’Est du Congo est d’être la compagne du président français. Ingèrence guerrière de la Monusco ... Lire la suite »

Le renouveau de l’Afrique passe par un hiatus d’avec les générations des indépendances

« Sans vouloir confondre vérité et grossièreté. Ou parler vrai et parler cru. Il est à mon humble avis souhaitable que la rénovation de l’Afrique cesse d’être œuvre du politiquement correct. Entendre par là (politiquement correct), dissoudre la politique dans la morale ou les bons sentiments. » Émanation des colonisations Cet état de politiquement correct, hérité des miasmes du tintamarre des indépendances chantonnées, conceptualise l’attitude « de guigne » des populations ne se souciant que très peu et voire pas du tout des voies des développements de leur environnement. Voies déportées en croyance de capacité intrinsèque des aîné(e)s de l’ère des indépendances. Le résultat de cette déportation à ces affidés de la colonisation (aîné-e-s des indépendances), belle compréhension de leur mise en avant au détriment des valeureux assassinés, se matérialise des délitements sociaux. Délitement que l’on constate des corps constitués au service de la nation. À l’instar des forces en armes, à l’activisme plus en vue du domaine du spectaculaire de cérémonial de défilé ou de répression de leurs populations. Symbolisme du spectaculaire que dévoilent les champs d’opérations (Nord Mali, Est R.D Congo, etc.). Terrain d’opération de combat où l’absence d’honneur en devoir militaire de défense territoriale et des populations, et non ... Lire la suite »

Afrique: La continuité décevante de l’Union Africaine | Joseph Tapa

« La toute nouvelle présidente de la commission de l’Union Africaine (UA), financée majoritairement (environ 77%) par l’Union Européenne (U-E), institution se voulant majeure quand bien même peu audible en Afrique, Nkosazama Dlamini-Zuma, élue le 16 juillet 2012. » Une Afrique tenue par l’ONU et la CPI Nkosazama Dlamini-Zuma sur qui se déporte tant d’espoir de valorisation et d’affirmation de l’Afrique en appui des qualités et succès de réalisations sociétaires attribués à la gestion des politiciens de langue anglophone dont-elle est issue en raison de son appartenance à l’une des puissances économique africaine qu’est l’Afrique du Sud. Pays au sein duquel elle occupa pendant plus de dix ans de grandes responsabilités ministérielles, Santé (1994-1999), Affaires étrangères (1999-2009) et Affaires intérieures (2009-2012). Madame Dlamini-Zuma, dans une tonitruante déclaration solliciterait que l’Afrique méconnaisse sur son territoire l’action de la Cours Pénale Internationale (CPI). La joie n’en saurait qu’être excitante… Il va s’en dire qu’à la saisie ou perception de l’action de la CPI tendancieusement orientée avec un relent d’humiliation à l’encontre d’acteurs civils, politiques et militaires Africains ; que cette simple posture dénonciatrice de la présidente de la commission africaine, à l’effet peu éloignée d’intentionnel sans véritable contraignant, ne saurait que rencontrer un écho ... Lire la suite »

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