« 24/03/2015, Afrique : Telle est la phrase ressortie en boucle d’agacement des leaders africains quand ils leur aient fait état de qualité de leur bilan. »
Entrevoir le devenir
À croire d’une part, que les sociétés (héritées) dont-ils la responsabilité d’entrevoir le devenir l’ont été matérialisées par des anciens quand on sait la nature de l’espérance de vie dans les sociétés précédentes, et d’autre part, que la qualité de bon réparateur serait sujette et attachée à l’ancienneté.
L’entreprise de qualité en efficience dans la construction des sociétés humaines ne saurait être reléguée à l’âge…la sagesse, l’aptitude, la détermination, l’efficacité, en politique ne résume à l’âge ! Mais bel et bien à la compréhension des défis du présent et du futur, dans une vivacité d’esprit (ce que n’étoffa pas la colonisation mais bien plus la domination…hors ces leaders sont majoritairement tous des générations colonisées) propice à d’expériences salutaires.
Menace à l’essor africain ?
Alors dire que les aîné(e)s ne sont pas actualisables, par défaut de fabrication, et caractérisent une menace à l’essor merveilleux de l’Afrique : serait-ce faire marque d’empressement d’une jeunesse irrespectueuse ? Combattre la colonisation ne passe t-il par neutraliser les infecté(e)s qui en sont maculé(e)s ? Les sociétés africaines gangrenées par de tels dogmes (pyramide d’expression structurée par l’ancienneté), prédisposés de résultat des colonisations et magnifiés d’excellence en Afrique particulièrement, s’offrent-elles chance de réussite d’avenir radieux !?
Difficultés africaines
Ps: Il ne s’agit pas de méconnaître un rôle constrictif à l’ancienneté… Mais de constat, des difficultés actuelles africaines, en sagesse propre à la raison humaine quelque soit l’âge mais innée à toute bonne conscience, pour meilleur avenir, de réduire drastiquement des enjeux du futur de l’Afrique des esprits dépassés, colonisés et d’autres époques.