« Le 10/10/2013 : Il est d’importance majeure, sous l’invocation de bonne conscience et juste cause chez tout(e) Africain(e) en aptitude et capacité, ouverte aux ami(e)s et sympathisant(e)s à la réinvention de la construction du devenir de l’Afrique. »
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Mauvais esprits
S’inscrire en opposition et voire virulente à l’encontre des « prétendus » légitimes et responsables dirigeants actuellement en charge des entités étatiques érigeant les destinées des populations africaines… et leurs acolytes sournoisement passés en opposition.
La caractéristique de ce juste et bénéfique combat pour le meilleur de l’Afrique, dans le nécessaire du salut des constructions et de la sauvegarde de la paix des sociétés africaines, se doit d’être d’inconditionnelle, une lutte sans cesse aux moyens de dénonciations à l’accent mis sur l’éveil des masses populaires, afin qu’il soit de juste cause déniée toute forme de crédibilité à cette cohorte d’ectoplasmes et conduite à l’exil mérité des malfaisants.
Faiblesses des sociétés africaines
L’importance de cette lutte s’érige à l’observation des entreprises de cette cohorte amicale (dirigeants actuel en Afrique) d’affidés aux théorèmes, techniques, thèses, gestionnaires et administratives étrangers aux capacités et réalités africaines. Cette cohorte incarne indécemment la marque constitutive des faiblesses sociétés africaines.
En effet, à nos jours, après des années d’inoculation et d’imposition des théorèmes, des techniques, des posologies, et cetera, importés en Afrique et reléguant à l’expectative le dynamisme de l’Africain : il en résulte qu’aucune société africaine n’est pour l’heure en mesure par elle-même de faire face aux besoins nécessaires et vitaux qu’imposeraient son développement sous la représentation étrangère (importation)…et encore moins d’assumer par elle-même la rénovation et l’entretien de l’environnement occupé par ses populations.
Manque total de développement sociétaire
Il n’est même pas à évoquer la totale absence de mesures d’incitations à la participation des populations, de contrôles et de coercitions à concourir d’activités, à la construction et aux mécanismes du développement sociétaire. Ainsi s’orchestre en Afrique un chancelant laisser aller que des esprits de mauvais aloi et leur croulant séides au sein des populations, s’excitent à présenter d’exploit sous l’invocation de l’exceptionnelle talent à la débrouillardise de l’Africain.
D’un exemple en guise de présentation sous forme de cas pratique : connaissez-vous, particulièrement en Afrique subsaharienne, une collectivité territoriale (commune, région, et cetera) qui puisse s’appuyer sur une rente (financement) tirée essentiellement en faveur de taxation diverses des populations établies sur territoire et/ou d’ensemble de l’activité économique qui s’y rependrait et par ce truchement en arrive à faire aux besoins de développement ?
Ceci n’étant qu’un aperçu de l’incroyable incapacité entretenue volontairement, depuis l’ère chantonnée des indépendances, en savante distraction par les élogieux ectoplasmiques leaders Africains, à l’exception rarissime de regretté tel Thomas Noël Isidore Sankara. La médiocrité ne doit l’emporter…