« 12/03/2015, Afrique : Si le métissage, culturel, social, identitaire, etc, soit à certains égards fait qui puisse neutraliser les tensions sociétaires héritées des colonisations, sans être à nos jours le repli d’esquive des responsabilités actuelles. »
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Brassage des populations africaines
Il en serait de même effet poursuivi du brassage des populations des nations africaines, constituées par les dominations coloniales, dans une redéfinition des entités territoriales. Au delà de la symbolique de poursuite ou révérence continuelle aux dits bienfaits des colonisations qui se dévoilent en l’espèce d’entité territoriale africaine par l’encensement prétendument intangible (juridiquement) des frontières héritées des colonisations, au delà de ce poids non négligeable (de fond et portée) dans la destruction (déstructuration) psychologique : Face aux multiples échecs publics (missions diverses notamment en sécurité multiples) des régionalisations actuelles africaines, le redécoupage des territoires causerait des difficultés nouvelles…
Défis sociétaux
Mais ne seraient-elles pas bénéfiques à une Afrique qui jusqu’ici s’est construite dans la fuite devant les responsabilités, révélant des manquements multiples dans l’anticipation, les lectures et accompagnements des défis sociétaires tel l’emploi d’une population naturellement grandissante et la transformation de leur économie à sortir des dépendances de richesses naturelles ? Les Africains issus des régionalisations actuelles consécutives de l’héritage colonial se méconnaissent, ne s’accordent que peu et en façade la fraternité, ne rêvent en commun ou du moins ne s’investissent de bout de langue dans des rêves commun, etc… comment y mettre terme autrement que par un métissage territorial ?