« On ne cesse d’annoncer que l’Asie (Chine, Inde, etc.), l’Occident (France, Royaume-Uni, etc.), l’Amérique (Brésil, Usa, etc.), le Moyen Orient (Qatar, Arabie Saoudite etc.), se bousculent sans fard ou subrepticement au travers de formules indirectes plus ou moins complexes (Partenariat Public Privé, etc.) à investir de colossales sommes d’argent au rachat ou s’assurer le contrôle de multiples secteurs d’activités en Afrique. »
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Les duperies des indépendances Africaines
Bien qu’il soit indéniable que de tragique époque « dite de la civilisation des Noires », les activités de renom tant économiques qu’administratives étaient en Afrique sous direct profit des « civilisateurs ». À la faveur de diverses difficultés sociales (montée des contestations face aux grotesques injustices de la supposée civilisation), rencontrées par les civilisateurs, stratégiquement, s’imposa le don de la supposée décolonisation. Et avec elle, une panoplie de distraction aux saveurs de souveraineté et biens de philosophies à fleur d’indépendance et droits divers (non ingérence, etc.). Dont sont friand de revendication et protection les faibles.
La duperie d’indépendance, finement non préparée, se traduit à remettre à certains Africains (les plus dociles et véritables sacripants) la main mise sur les structures et institutions dont-ils n’avaient au préalable droit d’exercice qu’en soubrette….le fruit d’indépendance se trouvait ainsi pourri et ne pouvait que difficilement générer de bonne graine pour les futures semences !
Les rapaces à l’assaut de l’Afrique
C’est ainsi, que par ces temps de difficultés mondiales aggravées (crises structurelles et systémiques) imposant aux fauteurs de rechercher fraîcheur ou se refaire une jouvence en Afrique ; l’Afrique, qui indiscutablement compte d’innombrables grands fortunés, elle est outrageusement absent de réactivité en activisme profitable aux siens. De constat et d’une simplicité interrogative : Combien connaissez-vous de grandes fortunes africaines qui s’investissent dans des acquisitions (hors de biens de confort) ou contrôlent d’activités économiques de simple renom en Asie, Occident, Amérique, Moyen Orient ?
À se demander à quoi leurs servent ces fortunes bâties le plus souvent en spoliation des richesses nationales africaines (sous-sol, terre, espace aérien) ? Et qu’ils (Tous) conservent majoritairement tout bonnement en liquidité (inscription numérique virtuelle) au cœur du réseau bancaire occidental. Offrant ainsi aux entreprises étrangères dans lesquels ils n’ont aucune influence, un brillant concours en financement contribuant (au détriment de l’initiative africaine) à leur persévérance à l’innovation des consommations desquelles se retrouvent sanglé le mondialisme actuel. Et de perverse ironie, ce direct concours non négligeable en masse monétaire, favorise le déversement d’obsolescences et/ou de contrefaçons dans le circuit de consommation africaine perçu de secondaire pour ne pas dire de poubelle.
Les sacripants de leaders politiques
L’Afrique en est ainsi grandement meurtri de difficulté d’évolution par une concomitance d’effets sanglant de ses sacripants de leaders politiques, appuyés dans le maléfique par la munificence à soutenir l’activité étrangère de ses grandes fortunes (qui au demeurant, bien que masquée, se retrouvent être le plus souvent des politiciens). Cette conjonction d’effets négatifs quant à l’essor du continent, se répercute tout aussi sur les masses des populations ainsi envoûtées de contribution au malheur de l’Afrique par n’être qu’en perpétuel éblouissement stérilisateur d’activisme et sous l’expectative de merveilles venues d’ailleurs.
L’épicentre ou clé de voûte des difficultés africaines, à l’analyse de tout esprit s’y intéressant sincèrement, ne saurait être autre que la mentalité de refus de confiance d’entre eux et à laquelle s’accole un rétif à se valoriser et partant là à s’adonner à l’apprentissage et ses vertus grandissant l’Homme dans ses réalisations. En appui d’une telle assertion, il n’est qu’à constater que pour quelconques réalisations d’envergure dans ce géant continent qu’est l’Afrique, et plus particulièrement dans l’immense étendu des régionalisations sous influence linguistique francophone (Afrique Centrale, de l’Ouest et Maghreb), il est de toujours sollicité l’intervention technico-financier et mécanico-conceptionnelle d’occidentaux. Au demeurant, et de rivalité de territoire africain, applaudit avec grande ferveur en quête de paternalisme de toujours plus renforcé ; Et qu’idéologiquement de stratégie politique accompagnatrice, en duperie d’esprits des masses populaires, l’on dénomme amitié ou bonne entente entre Etats et Nations Frères et Amis.
Incapacité du continent Africain
En guise de réponse à l’interpellation du titre de cette présentation, il parait difficile de conclure autrement que de dire que l’Afrique n’en est pas en possibilité physique, matérielle, capacitaire, à tirer profit de la déconfiture sociétaire occidentale. Bien au contraire, au-delà d’y jouer un hypothétique rôle de tampon ou de régénérescence occidentale en concours de plus grand appauvrissement de ses ressources diverses (vaillance humaine comprise) ; Elle semble via l’entremise soutenue et d’ensemble des Africains de tout bord prendre la voie de l’autodestruction, dont l’ultime bénéficiaire ne saurait qu’être autrement qu’occidental ou étranger par récupération d’un espace vital le moins pollué et surtout le moins frappé et marqué de calamité naturelle et autres errances des méfaits de la course à la supériorité technologiques (nucléaire et autres).