« Sans vouloir confondre vérité et grossièreté. Ou parler vrai et parler cru. Il est à mon humble avis souhaitable que la rénovation de l’Afrique cesse d’être œuvre du politiquement correct. Entendre par là (politiquement correct), dissoudre la politique dans la morale ou les bons sentiments. »
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Émanation des colonisations
Cet état de politiquement correct, hérité des miasmes du tintamarre des indépendances chantonnées, conceptualise l’attitude « de guigne » des populations ne se souciant que très peu et voire pas du tout des voies des développements de leur environnement. Voies déportées en croyance de capacité intrinsèque des aîné(e)s de l’ère des indépendances.
Le résultat de cette déportation à ces affidés de la colonisation (aîné-e-s des indépendances), belle compréhension de leur mise en avant au détriment des valeureux assassinés, se matérialise des délitements sociaux. Délitement que l’on constate des corps constitués au service de la nation. À l’instar des forces en armes, à l’activisme plus en vue du domaine du spectaculaire de cérémonial de défilé ou de répression de leurs populations. Symbolisme du spectaculaire que dévoilent les champs d’opérations (Nord Mali, Est R.D Congo, etc.). Terrain d’opération de combat où l’absence d’honneur en devoir militaire de défense territoriale et des populations, et non de carapater au moindre coup de feu, en est déroutante et dégoûtante preuve de vérité.
Les militaires assénerons à leur corps défendant tout aussi le politiquement correct :
1- Moralement ils ne peuvent faire face à des forces mieux équipées, argumenteront aussi en guise d’esquive morale sur l’effet de surprise.
2- De bons sentiments, ils exciperont de la cause finale d’inefficacité de terrain et déshonneur ainsi projeté par l’évocation de déréliction par abandon des politiciens pourris (aîné-e-s des indépendances) pour lesquels donner sa vie n’aurait de sens !
Ce constat irise l’ensemble des activités au service de l’intérêt général en Afrique. De désolation, il est un refrain courant seriné en dénégation d’impéritie : en guise de dédouanement en morale et bon sentiment (politiquement correct) ; l’invocation de qualité de simple exécutant des décisions des pontes (aîné-e-s des indépendances) des régimes hérités des indépendances.
Sacripants et impétrants de la colonisation
Ce qui, du souci d’esprit souhaitant sincèrement s’investir au renouveau de l’Afrique ; Conduirait à abhorrer ces sacripants et impétrants de la colonisation -aîné(e)s des indépendances-. Dont l’attitude ectoplasmique, face aux combats d’une part de décolonisation (ah oui ils sont des obligés des ex-colons…difficulté morale de s’extraire de bons sentiments) et d’autre part de l’ancrage de l’Afrique dans le modernisme, renforce la perdition sociétaire. À la finalité certaine de dérive sempiternelle des populations et de l’Afrique.
Tout concept n’étant d’unique rayonnement. Cette énumération de la consistance du politiquement correct, se devrait d’être repris par les soucieux du meilleur de l’Afrique. Ceci en appui d’un esprit moral fort intéressé à s’investir courageusement à l’émergence efficace de l’Afrique. Et de bons sentiments, d’un autre appui nécessaire à dépoussiérer ou débarrasser les voies des administrations et des institutions de ces incapables aîné(e)s des indépendances.
La poursuite du politiquement correct, se révélant un vecteur d’affaiblissement de la vaillance africaine depuis l’ère des indépendances, n’exprime à ne pas douter, la principale cause profonde des échecs du participatif concret des populations dans la construction des sociétés africaines. Trop de morale et bons sentiments nuiraient à l’efficacité de toute action. Le fait que l’Africain dans sa perception politique en est trop souvent recours, se devrait d’être neutralisé en souci d’éradication. Cela afin d’éviter un atavisme.
L’excès de morale et des bons sentiments en épicentre des actions politiques africaines, desquels les fétides aîné(e)s des indépendances africaines données et non conquises, actuellement en charge des destinées des territoires d’Afrique, en agents complices de la réduction des populations africaines aux assistances étrangères comme de l’époque colonisation, se doit être neutralisées en souci d’éradication.
L’action politique affectant de final le quotidien des populations, celle-ci ne saurait par conséquent être prise à la légère et de ce fait conduite par des benêts. Des personnes aux esprits indéfiniment englués dans les supposées bienfaits de la colonisation dont-ils ne sont des putatifs. Et ne peuvent de part ce fait véritablement inscrire l’Afrique dans une avancée concurrentielle qu’impose les échanges mondiaux actuels.
Faiblesse ou Courage ?
Il est une vérité que l’avenir ne se construit pas dans l’idolâtrie du passé. Encore moins avec des esprits passif et englués dans l’attentisme de messie en revendication de sagesse et/ou vénérant le passé.
Les consciencieux (ses) du meilleur de l’Afrique, si de cette génération des indépendances se doivent de s’écarter en toute sagesse d’eux-mêmes des voies administratives africaines. Celles et ceux des générations précédentes se doivent de formaliser le hiatus moral et sentimental d’avec le passé de l’Afrique, pour mieux l’inscrire dans une vaillance de combativités diverses (technologiques, sociales, etc.) face à la permanente évolution de modernité. Et non en être de toujours les spectateurs ou simples consommateurs in fine.
A cet effet, quête d’amélioration du positionnement de l’Africain dans l’évolution moderne, il ne saurait être avantage à poursuivre cette initiative sans au préalable s’être débarrassé de la mentalité des boulets que caractérisent majoritairement certains aîné(e)s d’avant et des indépendances.
Il pèse ainsi à la jeunesse africaine, d’un courage d’identifier les néfastes à son emprise sur le devenir de l’Afrique, et, d’un autre courage de les neutraliser sans remords pour la rénovation du futur de la construction africaine. C’est au prix du courage que s’améliore les Hommes et par impact de courage leur environnement !