« L’évolution sociétaire moderne, dans l’ébauche des coercitions au nom du mieux vivre ensemble, diffère des civilisations anciennes par la mise en avant justificative de concepts préparatoires à la communication choisie -à outrance- en concours de l’adoubement des restrictions avec l’assentiment des masses populaires. »
Sommaire News
Calamité naturelle ou artificielle ?
La calamité naturelle, saisie sous la dénomination de virus Ebola, apparue au monde moderne au cours des années 1976, dans la région de l’Afrique centrale ; et qui vraisemblablement de référence aux dires d’alors de médecin de toujours pas à nos jours présentées de farfelues, s’étant d’époque confronté au ravage de cette épidémie virale, fut scientifiquement maîtrisée existence d’un traitement sans toutefois qu’il en résulta ou fut constaté l’éradication ou disparition totale voire conséquente d’une quelconque communauté et/ou groupuscule humain.
Soit ce virus fut réellement neutralisé d’alors, avec pour conséquence que les moyens d’une nouvelle neutralisation à voire éradication à sa résurgence actuelle sont réels et d’effectivités de portée rapide ! Soit ce virus ne le fut guère neutralisé, dévoilant en conséquence une dangerosité mineure au vu des années écoulées depuis sa survenance moderne jusqu’à nos jours, sans qu’il eut été désolant de constater de la disparition graduelle de quelconques communautés et/ou groupuscules victimes !
L’accent sur la gravité des pandémies sévissant mortellement en Afrique, étant jusqu’ici pointé sur les non moins gravissime nombreuses victimes annuelles, bien en deçà de celles d’Ebola, du paludisme estimées à plus de 600 000 personnes, du choléra estimées à plus du million de personnes l’an et bien d’autres maladies virales et calamités naturelles. Sans que cela n’éprouve l’ardeur actuelle et manifestation quasi internationale (bien plus occidentale) à la protection contre la propagation de la calamité Ebola. Ebola qui serait à quelques encablures d’être présenté de ressemblance à la Peste Noire ayant sévèrement en Occident, bien que l’actuelle quasi-totalité des populations occidentales n’y en connaissent rien de vécu autrement que récits et contes d’histoires.
L’idéologie accompagnatrice…
Il se multiplie des appels à limiter, à interdire voire cesser, les déplacements vers certains pays d’Afrique. Au nom de la protection contre une probable extension des foyers de contamination du virus Ebola pour le moins maîtrisé dans sa dangerosité (Cf son ancienneté). Ou de peu dangereux, vu que sévissant depuis bien longtemps sans fracas en Afrique. Appels ne souffrant guère de béantes dénonciations publiques des moralistes des droits des Hommes, et autres irascibles défenseurs des libertés publiques et inconditionnelles attachées aux Hommes. Appels assénés de tous bords sociétaux, notamment en provenance de la société civile et illustre magna économique tel Donald Trump, au point que des parents d’élèves à l’exemple français soustraient leurs enfants d’école fréquenté par d’enfants en provenance des territoires africains honnis (où sévit le virus Ebola).
Les médias occidentaux de concours à la machination de diabolisation de certains territoires d’Afrique « pour l’heure… la généralisation n’étant que question de temps à étape », parcourus du virus Ebola, n’ont de cesse d’alimenter la psychose en appuyant (insistant) à tour d’éditorial sur les victimes infectées en Occident. De l’Allemagne qui se reconnaît un cas de contamination interne au virus Ebola et justifiant certainement en précaution que la pays entende déployer quelques centaines de soldats en Afrique en lutte contre Ebola ; en France où à quelconque malaise d’un africain demandeur de séjour, venu des territoires affectés par le virus, le quantique du repli sur soi est généreusement remisé ; aux Usa où l’ignominie est poussée par la mise en avant des difficultés à impossibilités administratives internes à la protection, en dépit des rigueurs prônées.
Ebola serait dont incirconscriptible et grandement de contagion fatale, avec un talent à la propension qu’il faille courir le risque de ne plus pouvoir vivre socialement. Et partager les gestes simples et affectifs du quotidien, tel que se saluer sans crainte, embrasser ses proches et enfants sans risques supposés, partager des joies de vivre sans péril imminent, etc. En somme, l’Occident serait en danger sans protection contre ce mal en provenance d’Afrique, colporté par les Africains et leur mode existentiel. La mondialisation ayant ses limites… ! Et dire qu’Ebola n’est pas une surprise, et donc insurmontable, vu que le virus n’ait pas pour l’heure des connaissances à son sujet muté en autre chose de nouveau voire d’inconnu.
L’indicible machination…
La paupérisation grandiloquente des populations africaines, en stupéfiante et sévère contradiction d’avec d’innombrables de richesses dont fourmillent en abondance leurs espaces vitaux, exploitées substantiellement contre de modique retour aux populations, aggrave le phénomène naturel de déplacement des populations en recherche de mieux être ailleurs. Ce qui eut pour effet de tendance, à vider les campagnes de la majorité des populations au profit des villes urbaniser ; et qui d’une autre échelle à tendance, a pour conséquence de vider l’Afrique de ses forces vives en recherche de mieux être en Occident. Ce que dévoilent les incessants naufrages de jeunes Africains aux portes de l’Europe. Et nombres de stratagèmes érigés dans le souci de rejoindre l’Europe, accusé au demeurant de construire son mieux être sur le dos de l’appauvrissement de l’Afrique.
Nul doute que le regard humaniste en appui des droits reconnus aux Hommes (occidentaux) et par la suite consentis à ceux d’Afrique (anciennement esclave relégué au statut de biens meubles), achopperait de non sens à fallacieux s’il n’était reconnu « de protection » à des populations se soustrayant à mort certaine… portée de la sévérité de la pauvreté ! Et donc ou du moins ce qui favoriserait l’implantation grandissante de déplacement en Occident, à mesure équivalente de l’appauvrissement de l’Afrique et des populations africaines ! Ce qui constituerait à certaines lectures un retour au frein (gouffre financier) qui d’hier déjà, valu à l’Afrique sa sortie du joug officiel des colonisations (indépendance) : l’égalitarisme, la fraternité, etc de vertus et valeurs de toujours distingués d’attributs universels aux Hommes.
Par contre, nul doute que le regard protecteur sous la lueur d’intérêt supérieur verra admirablement jour contre le mal venu d’ailleurs…ne pouvant qu’aisément que justifier toutes sortes de restrictions à l’universalisme d’égalitarisme Humain prôné et tout aussi agréablement encourager des retouches ou ré-adaptabilités des vertus de morales délester de teneurs incompatibles à l’intérêt supérieur.
Ebola, serait-ce le nouvel artifice de protection contre l’immigration envisagée sauvage africaine !? Immigration naturelle- pour le moins en suite ou conséquence et assurément inconséquence des immixtions sauvageonnes étrangères en terres africaines…! L’avenir nous dira à coup sûr du résultat des gestations et autres perfides mesures qui sont en attentes d’êtres adoubées populairement, outre Afrique bien évidemment.